Exposition photos
Du Dimanche 06 au Vendredi 11 Août
Chapiteau La Toussuire 10h-22h
Tout au long de la semaine, sous le chapiteau du village du festival, chacun pourra apprécier le travail de plusieurs photographes.
Une autre façon de faire vivre le spectacle le cirque ainsi que de mettre en lumière des morceaux de vie, une autre manière de transmettre et de partager.
Chacun, avec son regard et au travers de son objectif nous parle de ce qui l'entoure.
Merci à eux pour ces instants figés...
Zoom Spécial : Darkroom Project
Au sein du projet DARKROOM, initié par l'artiste syrien Serest Salih, lui-même réfugié, Les photographes en herbe de l'école de cirque social Sirkhane apprennent les bases de la composition et des arts visuels et comment développer, imprimer et obtenir des résultats avec leur propre art.
Les enfants sont encouragés à prendre des photos de leur propre environnement et à capturer l'innocence et la beauté de leur propre vie.
Le Festival au fil du temps
Une autre façon de faire vivre le spectacle, une autre manière de transmettre et de partager.
Chacun, avec son regard et au travers de son objectif nous parle de quelques instants du Festival depuis ses débuts en 2016
Tendus et sérieux avant le spectacle, sereins et joueurs loin des projecteurs. Ici, le collectif Klak Stories for Artists raconte comment les artistes du "Spectacle est dans la rue" vivent pendant la semaine du Festival.
Les photographes
Serbest Salih
Né à Alep, en Syrie, il travail sur la photographie indépendante. Depuis 2014, il a participé à de nombreux projets au sein d'ONG. Il a un rôle actif dans la mise en place et la gestion du projet Darkroom, à Mardin (Turquie). Avec ce projet, il a permis à de nombreux enfants locaux et réfugiés de rencontrer la photo. Il organise de nombreuses expositions avec des photos prises par des enfants. Il croit à ce projet qui défend les droits des enfants leur créer un monde, des liens d'amitié et leur permet de découvrir leurs talents.
Régis Moalic
La photo est une passion, la montagne aussi. Ce pourquoi Régis Moalic, présent à chaque édition du festival, prend plaisir à figer quelques instants de chaque spectacles pour ensuite nous les partager